Je vous propose

Quelques minutes de lecture pour laisser à cette page d'accueil

une chance de déstigmatiser et de tranquiliser le rapport à votre santé psychique.


Je cherche un.e psychologue, mais j'hésite quand même...

Vous hésitez et c'est normal.

En effet, beaucoup de représentations pré-conçues entourent encore la profession de psychologue. Qu'elles viennent d'une vision ancienne de la profession, de stéréotypes sur les "psys", de mauvaises expériences avec d'autres praticiens ou encore des peurs de tout un chacun : ces représentations apportent des craintes sur la psychothérapie, ses possibles dérives et sur la manière dont elle peut prendre place avec vous.

Ces représentations, souvent issues de préjugés, peuvent être bloquantes, et engendrer une ambivalence entre un besoin d'être soulagé, et une peur d'être abusé. Surtout dans une période de vulnérabilité où s'ouvrir est difficile.

De mon côté, mon numéro ADELI (379313372) est là pour vous apporter la garantie que j'ai bien obtenu un titre de psychologue clinicienne règlementé et protégé, issu d'une formation scientifique universitaire. Je suis donc compétente et habilitée à prendre en charge votre santé psychique, selon les préconisations et les avancées des travaux actuels en psychologie, et dans le respect des approches que je manie. Je ne peux en revanche pas prescrire de traitement pharmacothérapique.

Nous rencontrer, pour même un seul rendez-vous, nous permettrait aussi de discuter des réticences ou des inquiétudes que vous pouvez ressentir vis-à-vis d'un accompagnement, et ainsi de vous permettre de situer votre besoin.

Venir n'implique donc aucune forme d'engagement, mais m'informer sur vos préférences est essentiel.

Je saurai entendre et recevoir vos peurs, comme celle d'être jugé.e, celle qui vous insécurise quand vous imaginez vous ouvrir, ou encore la honte que vous ressentez peut-être quant à votre problématique, la honte de demander de l'aide, le doute d'avoir le droit d'être en souffrance...

Je pense avoir besoin d'un peu d'aide, mais je ne suis pas fou/folle

Et bonne nouvelle, vous ne deviendrez pas fou ou folle parce que vous venez consulter !

Au contraire, l'idée est que votre santé psychique puisse s'améliorer au travers de nos consultations, non pas qu'elle se dégrade. Et il ne pourrait pas y avoir meilleur signe de lucidité que le fait que vous vous préoccupiez de votre mieux-être !

Il n'est pas necéssaire d'attendre d'être au plus mal pour s'interroger sur sa qualité de vie. Vous pouvez même aller plutôt bien, et vouloir aller encore mieux.

Et ce, que vous présentiez déjà, ou non, un trouble de santé mentale avéré.

Et puis, je ressens juste parfois un petit mal-être

Alors nous ferons un petit travail, tout en vous donnant les clés pour optimiser votre bien-être, tout en sachant comment agir lorsque le "moins bien" pointe le bout de son nez.

Je ne veux pas prendre la place de quelqu'un qui va plus mal que moi, ça va, je peux encore gérer

Parfois, attendre toujours plus peut accentuer la toxicité d'une douleur que l'on cache en soi, et éloigne davantage encore de l'attention qu'elle mérite. Et cela devient tellement ingérable que l'on perd le contrôle de sa détresse.

Il est possible que vous arriviez à gérer cela ponctuellement, mais s'il s'agit effectivement d'un thème récurrent pour vous, se manifestant envers et contre tout, peut-être est-ce le bon moment pour nous pencher ensemble sur le sujet ?

Mon entourage me pousse à aller consulter, mais je ne suis pas sûr.e d'en avoir vraiment besoin

Nous pouvons aussi discuter ponctuellement de ce que vous vivez par rapport à cette sollicitation de votre entourage, ou vous permettre d'alléger la pression que vous en ressentez, dans un moment où vous redevenez acteur de vos choix et de votre parole : le moment de la consultation.

En fonction de ce que vous m'expliquerez, je serais aussi en mesure de vous orienter vers des professionnels complémentaires (neuropsychologue, psychiatre, CAARUD, Centre Régional de Psychotrauma, ...).

 

Pour quel(s) motif(s) puis-je consulter ?

Il existe autant de raisons que d'individus et d'épisodes de vie, et il n'est jamais trop tard.

Et si je craque pendant la consultation ?

Effectivement, cela peut arriver.

En tant que psychologue, en tant qu'être humain sensible, et du fait des approches que j'utilise, je suis formée pour recevoir et accueillir votre détresse, pour vous permettre de la laisser venir en toute sécurité, dans son plein droit d'exister, et en sachant repérer quels signaux necéssitent mon intervention pour vous replacer dans une émotion plus tolérable.

Ce genre d'évènement est généralement libérateur et nous projette davantage encore dans votre accompagnement.

Combien de temps l'accompagnement va-t-il durer ?

Il peut s'agir d'un unique rendez-vous car vous en ressentez le besoin, là, tout de suite, à cause d'un évènement inattendu qui vous désarçonne, comme d'un suivi plus étalé, ponctuel, ou à rythme plus soutenu pour entamer un travail précis. Dans tous les cas, il est indispensable de s'accorder explicitement à ce sujet, tant de votre côté, que du mien.

Bien que votre suivi soit construit et discuté ensemble, tant dans la nature des interventions que je vous proposerai, que dans la durée de votre accompagnement : le choix de continuer ou de mettre fin vous appartient !